InternationalParti pris

Pékin 2008 met Kouchner sens dessus dessous

Bernard Kouchner a mis deux jours pour préciser et corriger sa position sur le boycott des jeux Olympiques en Chine. Par contre, sur Chantal Sébire, il a l'air au point. Pour l'instant. Comment passer par dessus nos responsabilités morales, une illustration de Damien Macdonald.

Thomas Cantaloube

On se demande souvent où se trouve Bernard Kouchner. Sur les heurts au Kosovo, lui qui fut l'ancien patron de la MINUK, s'est contenté du service minimum : un communiqué commun avec son homologue suédois condamnant « avec la plus grande fermeté les violences ». Un peu tiède. Au même moment, c'est-à-dire mardi 18 mars, son partenaire de tandem, Jean-David Levitte, a pris du galon, et Rama Yade, sa secrétaire d'Etat adjointe, lui a grillé la politesse sur la question du boycott des jeux Olympiques de Pékin à propos du Tibet.

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