Le black-out décrété par le Conseil supérieur de sécurité nationale, l’organisme chargé des questions stratégiques et de défense, sur l’ensemble du territoire iranien s’est révélé très efficace. En l’absence d’Internet, qui avait permis samedi aux contestataires d’appeler à des manifestations, de se coordonner et d’envoyer des vidéos, on ne sait plus ce qui se passe en République islamique d’Iran.
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