Il ne fait pas bon, ces temps-ci, être un élu républicain aux Etats-Unis. Les fortunes de leurs confrères Tories, en Grande-Bretagne, sont un peu meilleures après douze années d'opposition, mais le parti dirigé par David Cameron ne respire pas la joie non plus. En effet, en cette période de crise financière, de récession et de plans de relance keynésiens, il faut avoir du courage pour s'afficher en héritiers de Ronald Reagan et de Margaret Thatcher.
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