« IBK » n’est pas qu’un président. C’est un symbole. Celui de la politique africaine de François Hollande, de la guerre qu’il a menée au Mali, de la lutte contre le terrorisme et des relations renouvelées que le président français jurait vouloir construire avec l’Afrique. Les dernières révélations de Mediapart sur les liens intimes entre le chef d’État malien, Ibrahim Boubacar Keita, dit IBK, et le « parrain des parrains », le Corse Michel Tomi, sont dévastatrices pour le récit qu’a cherché à construire l’Élysée.
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