La Grèce au temps de Syriza Entretien

Un député frondeur Syriza : « Je n'avais pas le droit d'accepter le chantage européen »

Le parlement grec a voté dans la nuit de mercredi à jeudi de nouvelles lois dans le cadre de l'accord signé entre Athènes et ses créanciers le 13 juillet. Comme la semaine dernière, près du quart des députés Syriza ne les ont pas validées. Entretien avec l'un d'eux.

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Deux nouvelles lois ont été votées à la Vouli peu avant le lever du jour, ce jeudi 23 juillet. Il s'agissait, pour l'une, de transposer dans la loi grecque des dispositions européennes sur le sauvetage des banques, et pour l'autre, de réformer des procédures du système judiciaire grec pour, en théorie, en alléger le coût. Comme la semaine dernière, où l'assemblée devait valider l'accord-cadre européen du 13 juillet et voter ses premières lois d'application, les textes sont passés avec les voix de l'opposition… mais sans une bonne partie des députés Syriza. Au total, 31 députés de la majorité ont voté contre, et cinq se sont abstenus.

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