La révolte algérienne Analyse

En Algérie, « les lièvres » de la présidentielle sortent du bois

La présidentielle aura lieu en Algérie en avril, mais le suspense reste entier. Bouteflika, malade, sera-t-il candidat à un cinquième mandat ? En attendant la réponse, 32 candidats, que la presse algérienne surnomme « les lièvres » tant l’élection est cadenassée, ont retiré un dossier de candidature. 

Rachida El Azzouzi

L’élection présidentielle aura bien lieu en Algérie. Elle se déroulera le 18 avril prochain, a annoncé le 18 janvier un communiqué de la présidence algérienne. Elle ne sera pas reportée, scénario au cœur des spéculations ces dernières semaines et piste, dit-on, sérieusement étudiée au sein de la majorité présidentielle, comme l’a confirmé le chef du Mouvement pour la société de la paix (MSP, premier parti islamiste du pays), Abderrazak Makri, qui se rêve désormais un destin présidentiel.

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter