Istanbul (Turquie), de notre correspondant.– « L’horloge de la démocratie s’était arrêtée de fonctionner le 31 mars au soir. Mais on n’empêche pas le passage du temps en arrêtant les horloges. » En deux phrases, le nouveau maire social-démocrate d’Istanbul, Ekrem Imamoglu, a écrit dimanche 23 juin dans la soirée l’épitaphe de la folle tentative du président Recep Tayyip Erdogan pour maintenir la métropole de 16 millions d’habitants, sa capitale de cœur, sous son giron.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous