Sous la pression, François Fillon finit par démissionner de ses mandats russes
Objet de toutes les critiques sur ses liens avec le Kremlin et menacé de sanctions financières, l’ancien premier ministre a annoncé quitter les fonctions qu’il occupait dans deux sociétés russes. Comme d’autres anciens hauts responsables, il participait à « une forme légale et insidieuse de corruption » qui inquiète l’Europe.
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IlsIls sont quelques-uns à avoir fait le choix de partir sitôt les premières explosions entendues sur le sol ukrainien. C’est le cas de l’ancien premier ministre de la Finlande Esko Aho (1991-1995), de l’ex-chef du gouvernement italien Matteo Renzi (2014-2016) ou de leur homologue autrichien Christian Kern (2016-2017). Tous trois siégeaient depuis quelques années dans les conseils d’administration ou de surveillance de grandes entreprises russes. Et ils ont immédiatement démissionné.