C’est une première, et une victoire, au moins symbolique, pour Emmanuel Macron. Sous la houlette du président de la République, les deux principaux protagonistes de la crise en Libye, réunis mardi près de Paris, sont parvenus à une déclaration commune appelant à un cessez-le-feu et à la convocation d’élections. Mais ce premier pas est très loin de régler l’instabilité politique et sécuritaire qui sévit dans le pays depuis l’intervention militaire française en 2011.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous