Longtemps, la communauté internationale est restée ferme : pas question de reconnaître le coup d’État qui a abouti à la démission forcée du président malien, Ibrahim Boubacar Keïta (IBK), le 18 août, et à la prise du pouvoir par une junte. En réalité, tout le monde a vite compris qu’une restauration du régime déchu était impossible et qu’il faudrait faire avec les nouveaux maîtres du pays, réunis au sein du Comité national pour le salut du peuple (CNSP).
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