En Espagne, l’extrême droite lance la bataille culturelle à Murcie
Arrivé troisième aux législatives de novembre dernier, Vox est devenu un partenaire indispensable pour le gouvernement de droite de la région de Murcie. En échange de son soutien, la formation d’extrême droite a imposé un dispositif controversé qui a pour objectif de censurer les activités extrascolaires sur l’égalité hommes-femmes ou la diversité sexuelle.
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La première coalition de gauche depuis le retour de la démocratie à peine formée, début janvier, la droite espagnole est montée au créneau. Elle a choisi un terrain particulièrement sensible, celui de l’éducation et de l’égalité hommes-femmes. La polémique, qui a éclaté depuis une semaine, porte sur un mécanisme appelé « autorisation parentale » – ou pin parental en espagnol, pour reprendre l’expression controversée utilisée par Vox, la formation d’extrême droite emmenée par Santiago Abascal.
Fin avril, un policier a tiré à dix reprises au fusil d’assaut sur une voiture, faisant deux morts et un blessé grave sur le Pont-Neuf, à Paris. Les premiers éléments de l’enquête, auxquels Mediapart et Libération ont eu accès, mettent à mal la thèse de la légitime défense : les balles mortelles ont atteint les victimes par le côté et l’arrière.
La précocité et l’intensité de la canicule actuelle démontrent à quel point l’heure n’est plus à la transition écologique mais à une écologie de rupture, sans transition. Alors qu’à l’ombre de cet événement sont tapies nombre d’injustices, il est temps de cibler les véritables fossoyeurs du climat.
Dans le cadre d’une nouvelle enquête pour « trafic d’influence » et « prise illégale d’intérêts », la justice a découvert des documents dérangeants pour le secrétaire général de l’Élysée. Non seulement il a été beaucoup plus impliqué qu’on ne l’imaginait dans tous les dossiers concernant de près ou de loin l’armateur MSC, mais des documents ont disparu à certains endroits – mais été retrouvés dans d’autres – afin d’effacer les traces de ses interventions.
En renvoyant uniquement vers une réponse judiciaire, l’exécutif commet une triple erreur après les révélations visant le ministre des solidarités. Il confond justice et éthique, se trompe sur le rôle de la presse et contredit l’esprit des lois qu’il fait voter.
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