Irene Casado

Responsable de Mediapart en Espagnol depuis 2015. Je m'occupe de nourrir notre section en espagnol, ainsi que des relations avec notre partenaire éditorial en Espagne, infoLibre. Vous pouvez également trouver certaines de mes contributions, notamment sur le paysage politique espagnol, sur Mediapart, en français. Je collabore aussi régulièrement avec des médias hispanophones en tant que journaliste freelance à Paris.
Vous pouvez lire ma déclaration d'intérêts ici.
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En Espagne, l’extrême droite lance la bataille culturelle à Murcie
Le dirigeant de Vox, Santiago Abascal, à Madrid le 11 novembre 2019. © REUTERS
Arrivé troisième aux législatives de novembre dernier, Vox est devenu un partenaire indispensable pour le gouvernement de droite de la région de Murcie. En échange de son soutien, la formation d’extrême droite a imposé un dispositif controversé qui a pour objectif de censurer les activités extrascolaires sur l’égalité hommes-femmes ou la diversité sexuelle.
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Les zones d’ombre du futur chef de la diplomatie européenne
Josep Borrell, le candidat espagnol à la diplomatie européenne, va devoir, lors de son audition au Parlement européen ce lundi, s’expliquer sur plusieurs points délicats qui entachent son prestigieux CV. À des soupçons de conflits d’intérêts et une condamnation pour délit d’initié, s’ajoutent depuis cet été des soupçons d’espionnage.
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Des migrants latino-américains sans abri aux portes de la mairie de Saint-Ouen
Ils ont quitté leur pays, la Colombie, Cuba, la Bolivie, la République dominicaine, le Pérou. Certains sont partis pour des raisons économiques, d’autres pour des motifs politiques, pourtant tous se trouvent maintenant contraints de vivre dans la rue depuis leur expulsion d’un ancien entrepôt devenu un squat au début de l’année.
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Pourquoi les Moudjahidine du peuple ont financé Vox
L’organisation d’opposition armée, qui vient de l’extrême gauche iranienne, a largement financé le parti d’extrême droite Vox à ses débuts. Itinéraire d’une formation prête à tout pour arriver au pouvoir.
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La justice espagnole enquête sur une «police politique» aux ordres de la droite
Pablo Iglesias le 24 juin 2016 à Madrid, aux côtés d'Íñigo Errejón (en bleu), Mònica Oltra (en orange) et Alberto Garzón (deuxième en partant de la droite). © Reuters / Andrea Comas
La justice espagnole enquête sur les agissements d’une « brigade patriotique » visant à décrédibiliser, de 2012 à 2016, les opposants politiques à la droite de Mariano Rajoy alors au pouvoir. Pour Pablo Iglesias (Podemos), ces « égouts d’État » fonctionnent encore.
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L’extrême droite espagnole de Vox espère sortir de l’ombre en Andalousie
Santiago Abascal, leader de Vox, à Valence, en Espagne, le 24 octobre 2018. © Reuters.
C’est l’un des enjeux des élections en Andalousie, dimanche 2 décembre : l’extrême droite de Vox va-t-elle obtenir un, voire plusieurs sièges ? Née en 2013, cette formation, longtemps ultraconfidentielle, a gagné en visibilité l’an dernier, grâce à la crise catalane et au retour des discours sur l’« unité de l’Espagne ».
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Adios Manuel Valls!
Manuel Valls lors de l'annonce de sa candidature à la mairie de Barcelone, le 25 septembre 2018. © REUTERS/Albert Gea
L’ancien premier ministre et candidat aux primaires socialistes pour la présidentielle a enfin officialisé mardi sa candidature à la mairie de Barcelone, pour des élections qui se dérouleront en mai 2019. Il annonce abandonner tous ses mandats en France, délaissant son poste de député et la ville d’Évry, à laquelle il déclarait son infini attachement il y a à peine plus d’un an.
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Le Conseil de l’Europe invite l’Espagne à respecter le droit d’asile à Ceuta et Melilla
La police espagnole encercle un groupe de migrants à Ceuta. © Reuters
Expulsions massives, centres de rétention surpeuplés… Devenue la première porte d’entrée pour les migrants en Europe, l’Espagne fait face aux critiques du Conseil de l’Europe sur sa gestion des frontières à Ceuta et Melilla, deux enclaves espagnoles situées au nord du Maroc.
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L’Espagne ouvre la voie à un troisième référendum sur la Catalogne
Le président de la Generalitat de Catalogne, Quim Torra, mardi 4 septembre 2018. © Reuters
Le premier ministre socialiste Pedro Sánchez a proposé, lundi 3 septembre, un référendum pour statuer à nouveau sur l’avenir de la Catalogne au sein de la monarchie espagnole. Une proposition saluée à gauche par Podemos, mais rejetée par les indépendantistes catalans.
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