Proche et Moyen-Orient

Le Hezbollah perd son chef, le monde s’inquiète des conséquences

Au terme d’un raid de bombardements massifs à Beyrouth, l’État hébreu a indiqué samedi matin avoir « éliminé » le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah. La nouvelle a plongé la région dans l’inconnu et suscité l’indignation des puissances régionales. La France a dit son « extrême préoccupation ».

La rédaction de Mediapart et Agence France-Presse

Le Hezbollah a confirmé dans un communiqué publié samedi 28 septembre à la mi-journée la mort de son chef Hassan Nasrallah. Il « a rejoint ses grands et immortels martyrs, dont il a dirigé le parcours pendant près de trente ans », annonce le mouvement chiite, qui assure « poursuivre la guerre sainte contre l’ennemi et en faveur de la Palestine ». Le gouvernement libanais a décrété trois jours de deuil national, du 30 septembre au 2 octobre inclus.

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