Politique

À l’Assemblée, le coup de blues de la majorité

Entre les déceptions de ne pas avoir été promus ministres, les nouvelles critiques sur la droitisation de la ligne et les interrogations sur le rôle à venir du Parlement, les députés de la majorité ressassent leurs inquiétudes. Et pensent déjà à la suite.

Pauline Graulle

C’est une faute de carre qui en dit long sur le malaise qui couve au sein des troupes macronistes. Mardi 13 février, lors de débats animés sur son projet de loi sur les dérives sectaires, la secrétaire d’État chargée de la citoyenneté et de la ville, Sabrina Agresti-Roubache – une proche du couple Macron –, a donné deux « avis de sagesse » – ni pour, ni contre – sur des amendements déposés par le Rassemblement national (RN), ouvrant de fait la porte à leur adoption par la majorité.

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