Extrême droite

En Guyane, les candidats du Rassemblement national accumulent les casseroles

Le parti d’extrême droite peine à s’implanter en Guyane, malgré des résultats électoraux en hausse. D’anciens candidats aux municipales viennent d’être condamnés à des peines d’inéligibilité. La candidate aux législatives de 2022 et l’actuelle candidate suppléante l’avaient été auparavant.

Marion Briswalter (Guyaweb)

Malgré des résultats électoraux en hausse, le Rassemblement national (RN) a du mal à s’implanter en Guyane. Tentant coûte que coûte d’aligner des candidat·es, le parti pratique depuis six ans des arrangements qui se sont terminés à plusieurs reprises devant les tribunaux. Deux anciens cadres condamnés à un an de prison avec sursis, l’ancienne candidate aux législatives de 2022 et l’actuelle candidate suppléante condamnées chacune par le Conseil constitutionnel à trois ans d’inéligibilité, et un parti à l’ancrage local poussif : tel est le visage du RN en Guyane.

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