Politique Parti pris

L’élection qui rend fou

Enjeux inédits, inanité du débat public, folie médiatique, rythme politique infernal, boussoles qui indiquent le sud, barrages qui proposent la noyade… Les législatives des 30 juin et 7 juillet mettent les nerfs à rude épreuve.  

Joseph Confavreux

Le calendrier décidé en solitaire par Emmanuel Macron rendait de toute façon impossible une véritable campagne, arguments contre arguments, programme contre programme, candidat·es contre candidat·es. Mais l’emballement et la gravité du moment, combinés à une folie médiatique et à une perte de repères politiques, mettent chaque jour davantage les cerveaux en surchauffe et les intimités en tension.

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