Depuis le déclenchement de la guerre, le candidat insoumis semble avoir changé de ton sur le régime russe. Mais les événements ont fait remonter à la surface des années de positionnements controversés sur les rapports de force internationaux, où sa position de « non-aligné » a entretenu une mansuétude plus ou moins relative envers le régime de Vladimir Poutine.
Le candidat insoumis a fait de la baisse de l’âge légal du départ à la retraite une mesure emblématique de sa campagne. Manière de s’opposer frontalement à Emmanuel Macron, mais aussi de s’inscrire dans la filiation d’une gauche antérieure à son tournant libéral.
Dans une salle entourée d’écrans projetant des images de l’espace, le candidat insoumis à la présidentielle a évoqué sa ligne en matière de politique spatiale et numérique. Il a aussi beaucoup parlé d’écologie et, un peu, d’union de la gauche.
Lors de son premier meeting parisien, le candidat insoumis à la présidentielle s’est posé comme le pôle de résistance à la droite et à l’extrême droite. Il a aussi montré sa capacité de rassemblement en s’affichant aux côtés de nombreuses personnalités de gauche.
Réactualisé à l’aune du quinquennat écoulé, « L’Avenir en commun » est débarrassé des points qui avaient le plus fait polémique en 2017, comme l’hypothèse d’une sortie de l’Union européenne. Pour le reste, la continuité domine : VIe République, planification écologique et partage des richesses.