Prévu dans un an, le renouvellement des conseils municipaux constituera, sauf surprise, la dernière échéance électorale avant la présidentielle. Dans tous les partis, les stratégies se dessinent et les ambitions se font jour, à l’aube d’une campagne qui s’annonce plus indécise qu’en 2020.
L’Afrique du Sud, attaquée par Donald Trump depuis son retour à la Maison-Blanche, subit une nouvelle escalade de la part de Washington. Son représentant diplomatique Ebrahim Rasool a été déclaré persona non grata et devra quitter les États-Unis après des commentaires jugés inacceptables.
Moins nombreuses que les hommes, les femmes de pouvoir sont érigées en modèles, qu’elles le veuillent ou non. Certaines d’entre elles, notamment au Royaume-Uni, sont pourtant des adversaires du féminisme, dénonçant certains droits acquis par les femmes.
Le député de Seine-Saint-Denis et sa conjointe poursuivent l’hebdomadaire pour un faux scoop qui les accusait de maltraiter une femme de ménage sans papiers. À la barre, ils ont lié ce procès à une lutte urgente contre la « trumpisation du débat public » et les « mythocrates » qui ne s’embarrassent plus des faits.
La détection d’un neutrino, une particule furtive aux propriétés fascinantes, a mis la communauté scientifique en émoi. Son énergie record – plus de trente fois plus élevée que tous les neutrinos connus – en fait un candidat de choix pour comprendre les phénomènes les plus violents de l’Univers.
Le maire, Benoît Payan, a pris cette décision au nom de « l’exemplarité ». Lors de leur comparution immédiate jeudi, Sébastien Jibrayel, adjoint aux sports à Marseille, et son père, l’ancien député Henri Jibrayel, ont obtenu le renvoi de leur procès pour violences volontaires en réunion.
Sur l’économie ou l’international, le président du parti cultive sa différence avec Marine Le Pen et assume son positionnement de droite. Une tactique électorale revendiquée, qui fait grincer des dents dans le premier cercle de la triple candidate à la présidentielle, sur laquelle plane le spectre de l’inéligibilité.
Elle se confond avec celle de la lente émancipation des travailleuses en quête d’égalité. Mobilisé par des ouvrières dès le XIXe siècle, ce slogan devient à la fin des années 1960 une revendication politique, qui continue d’être portée aujourd’hui encore par de nombreuses femmes dans les entreprises.
Face à la volonté affirmée des entreprises d’imposer ces nouveaux outils technologiques sans souci de leurs risques professionnels ou sociaux, les syndicats prônent une réponse coordonnée. Ils veulent pouvoir discuter à toutes les étapes de ces projets, et imposer de revenir en arrière si nécessaire.
Alors que le parti de Raphaël Glucksmann tient son congrès à Paris ce week-end, les critiques autour de sa gouvernance se multiplient. Coupure de canaux de communication, « verrouillage » des statuts, départs en série… En interne, certains dénoncent des « coups de force ». « Fantasme », rétorque la direction.