Libertés publiques

Vidéosurveillance algorithmique : Veesion se désiste devant le Conseil d’État

La start-up française commercialise une solution de vidéosurveillance algorithmique de détection des vols dans les commerces. Depuis plus d’un an, elle contestait une décision de la Cnil, le gendarme du numérique, qui juge cette technologie illicite. Peu avant l’audience, Veesion a décidé d’abandonner la procédure.

Clément Pouré

Un an de procédure. Puis rien. Dans le viseur de la Cnil (Commission nationale de l’informatique et des libertés) depuis novembre 2023, la start-up française Veesion clame depuis des mois une simple erreur. L’entreprise, qui a levé plus de 38 millions d’euros fin mai, commercialise en France et à l’étranger une solution d’intelligence artificielle.

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