Ali Khamenei est sorti de son silence mercredi en affirmant que son pays « ne capitulera devant personne ». L’aviation israélienne a poursuivi sa campagne de bombardements, frappant de nouveau Téhéran.
Depuis le lancement de l’offensive israélienne, vendredi 13 juin, au moins 224 personnes sont mortes en Iran. Côté israélien, les représailles iraniennes ont fait au moins 24 morts. Donald Trump annonce « contrôler entièrement l’espace aérien iranien ».
Après quatre mois de discussions censées améliorer la réforme de 2023, la rencontre du 17 juin devait être la dernière entre syndicats et patronat. Ils ont échoué à se mettre d’accord, mais se sont donné rendez-vous le 23 juin pour chercher un compromis. Les chances de succès sont minces.
Alors qu’Israël demande sa tête et Donald Trump une reddition sans conditions, l’ayatollah Ali Khamenei est devenu invisible. Lui qui se targuait d’avoir fait de l’Iran un modèle de stabilité n’a pas su empêcher la guerre ni, sans doute, la fin de son programme nucléaire. Itinéraire d’un tyran.
Cette semaine, la station Europe 1 reçoit dans ses locaux des stagiaires en classe de seconde. Au même moment, Jean-Marc Morandini, condamné pour corruption de mineurs, fait son retour provisoire sur l’antenne. Une situation inédite, qui suscite l’inquiétude des salariés et des parents des adolescents.
Le tribunal administratif de Strasbourg a repris les arguments de l’État pour autoriser le confinement définitif de déchets miniers sous la nappe phréatique alsacienne, rejetant les demandes des associations environnementales. Une procédure devant la Cour européenne des droits de l’homme est toujours en cours.
L’ex-premier ministre a été condamné mardi à quatre ans de prison avec sursis, cinq ans d’inéligibilité, une amende et des dommages et intérêts pour l’emploi fictif de son épouse à l’Assemblée.
Le président états-unien a expliqué retourner à Washington pour s’occuper de la situation au Moyen-Orient. Il a signé une déclaration commune avec les autres dirigeants du G7 soutenant Israël et condamnant l’Iran comme « principale source d’instabilité et de terrorisme dans la région ».
Dans la capitale iranienne, comme ailleurs dans le pays, la population cherche de l’essence pour fuir vers plus de sécurité. Mais celle-ci est rationnée. Dans certains quartiers, l’eau elle-même vient à manquer. Et la répression du régime, malgré les bombes israéliennes, reste féroce. Témoignages.
Comment comprendre les émeutes qui se sont propagées en Irlande du Nord en visant d’abord les populations immigrées, puis la police ? Entretien avec le sociologue britannique Steve Garner.