Chaque week-end, retrouvez notre sélection d’articles lus par la comédienne Christine Pâris tout au long de la semaine. Écoutez Mediapart, écoutez l’indépendance.
L’Assemblée nationale a voté, dans la nuit de vendredi à samedi, ce qui devrait être la version finale de la loi instaurant le passe vaccinal. Jeudi, la majorité avait pris pour prétexte un tweet d’un élu LR pour mettre fin prématurément aux négociations avec le Sénat. La manœuvre lui a permis de reprendre la main sur un texte que les sénateurs avaient largement amendé.
Mercredi, le Conseil d’État a rappelé que le port du masque ne pouvait être imposé de manière générale. Depuis, les arrêtés pris par les préfets des Yvelines, de Paris, puis de Loire-Atlantique, ont été annulés car ils ne prévoyaient pas d’aménagements en termes de zones et d’horaires.
Victimes d’une mesure « illogique et injuste » liée aux confinements, des demandeurs et demandeuses d’emploi perçoivent une allocation réduite. Un « effet de bord » identifié par Pôle emploi et le ministère du travail, qui semblent enfin prendre le problème au sérieux.
Abandonnés par leur maison mère, les ex-salariés de l’usine de Gerzat, spécialisée dans les bouteilles d’oxygène en aluminium, se sont battus pendant trois ans. Avec le Français Europlasma et les pouvoirs publics, ils annoncent la création d’une nouvelle unité de production, pour 2024.
Alors que la grève dans l’Éducation nationale a été très suivie ce jeudi, nous recevons quatre porte-parole des candidat·es de gauche à l’élection présidentielle. Revalorisation des salaires, suppression de Parcoursup, hausse des effectifs... quels programmes pour l’école ?
Douze millions de tests PCR ou antigéniques ont été réalisés la première semaine de janvier. À l’hôpital, débordés, les laboratoires de biologie et de virologie ne criblent plus tous les PCR, laissant patients et médecins dans l’incertitude sur le variant à l’origine de la maladie.
Grâce au principe de « compétence universelle », la justice allemande a condamné jeudi 13 janvier un ancien colonel des services de renseignement syriens pour « crimes contre l’humanité ». Un autre agent avait été condamné en février. Un premier pas vers la reconnaissance des crimes du régime de Bachar al-Assad.
Une peine de 15 000 euros d’amende, sans peine de prison, même avec sursis, avait été négociée entre le parquet de Paris et Christian Flaesch, suspecté d’avoir renseigné illégalement l’ancien chef des services secrets Bernard Squarcini pour le compte de LVMH. Le tribunal a refusé d’homologuer l’accord.