L’hôpital ne peut plus tester la progression d’Omicron
Douze millions de tests PCR ou antigéniques ont été réalisés la première semaine de janvier. À l’hôpital, débordés, les laboratoires de biologie et de virologie ne criblent plus tous les PCR, laissant patients et médecins dans l’incertitude sur le variant à l’origine de la maladie.
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DansDans cette pandémie, tout est imprévisible et incertain, à l’exception d’une chose : la capacité qu’a ce gouvernement de naviguer à vue, avec constance. Fin novembre, l’Afrique du Sud a alerté le monde sur la capacité de transmission phénoménale du variant Omicron. Mi-décembre, le Conseil scientifique a mis en garde le gouvernement sur le risque d’une désorganisation de la société, en particulier de l’école et des hôpitaux.