L’ex-président Nicolas Sarkozy plaide pour une dissolution de l’Assemblée nationale comme unique « solution » à la crise politique actuelle, sans appeler les LR à voter la confiance à François Bayrou contrairement au patron du parti Bruno Retailleau, dans un entretien au Figaro mis en ligne mardi.
Un homme soupçonné d’avoir blessé plusieurs personnes au couteau en plein centre-ville de Marseille mardi après-midi a été abattu par la police, a-t-on appris de source policière.
Les parlementaires américains ont fait leur rentrée mardi après plus d’un mois de congés pendant lesquels la perspective d’une paralysie de l’Etat fédéral, le fameux « shutdown », n’a fait que se rapprocher.
Le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, a estimé mardi qu’il n’y avait pas « de solution facile, sans effort », pour redresser les finances publiques du pays, estimant nécessaire que « cet effort soit juste et partagé par tous ».
Amnesty International a accusé mardi les forces gouvernementales syriennes et des groupes affiliés d’avoir exécuté sommairement 46 druzes à Soueida les 15 et 16 juillet, et a réclamé que les responsables soient traduits en justice.
Quatre ans de prison dont 18 mois ferme, et plus de 3 millions d’euros de dommages et intérêts: un vigneron champenois a été lourdement condamné pour avoir produit du faux champagne à partir de vins d’Espagne et d’Ardèche, d’arômes et de gaz carbonique.
Une institutrice de 42 ans, harcelée par un corbeau en raison de son homosexualité, a été retrouvée morte lundi matin à Anglards-de-Salers (Cantal) près de son domicile, la piste du suicide étant privilégiée, a indiqué mardi le parquet.
Le juge chargé du procès historique de Jair Bolsonaro pour tentative de coup d’Etat a accusé mardi l’ex-président brésilien et les siens d’avoir voulu installer une « dictature », et rejeté les « pressions externes » en plein bras de fer avec les Etats-Unis.
Un tribunal turc a révoqué mardi la direction du principal parti de l’opposition, le CHP, à Istanbul, pour des irrégularités présumées au cours de son congrès de 2023, selon des documents judiciaires.
Sept mandats d’arrêt ont été délivrés en août par la justice française à l’encontre d’anciens hauts dignitaires du régime syrien, dont l’ex-président Bachar al-Assad, pour le bombardement en 2012 d’un centre de presse à Homs, dans lequel ont péri les journalistes Marie Colvin et Rémi Ochlik.