Un important glissement de terrain dans la région soudanaise du Darfour (ouest) a tué plus d’un millier de personnes, a annoncé lundi soir un groupe armé contrôlant la zone.
Le dollar du marché noir en Bolivie a chuté de 40% depuis son pic d’il y a plus de trois mois, a constaté l’AFP lundi, porté par les anticipations d’un changement de gouvernement qui mettra fin à 20 ans de socialisme, estiment les analystes.
Le gouvernement argentin a contre-attaqué lundi, sur fond d’une affaire de corruption présumée impliquant Karina Milei, la soeur du président, en portant plainte pour « espionnage illégal » de conversations de Mme Milei, et obtenant de la justice l’interdiction de diffusion d’éventuels audios.
Le train transportant le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un vers Pékin est entré en Chine, a rapporté mardi l’agence de presse sud-coréenne Yonhap citant la radio d’Etat du Nord.
Les Guyaniens ont voté lundi pour élire leurs députés et leur président, appelés à gérer l’énorme manne pétrolière de ce pays d’Amérique du Sud disposant des plus grandes réserves de brut de la planète par habitant, sur fond de tensions avec le Venezuela voisin.
L’ex-président brésilien Jair Bolsonaro n’assistera pas à la phase finale de son procès pour tentative de coup d’Etat, qui s’ouvre mardi devant la Cour suprême, a déclaré lundi à l’AFP l’un de ses avocats.
Les médias guinéens sont finalement autorisés, durant la campagne pour le référendum du 21 septembre, à donner la parole aux partis suspendus ou dissous, a annoncé lundi à l’AFP le président de la Haute autorité de communication (HAC), contrairement à ce qu’il avait indiqué la semaine dernière.
Après un été d’incendies historiques, avant le retour des affaires judiciaires visant ses proches et un débat délicat sur le budget, le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez a effectué lundi une rentrée sur tous les fronts, défendant point par point sa politique.
Le Burkina Faso a adopté lundi une loi prévoyant des peines pouvant aller jusqu’à cinq ans de prison pour les « auteurs de pratiques homosexuelles », une première dans ce pays dirigé par une junte militaire hostile à l’Occident.
Le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez, interrogé sur les affaires de corruption présumée dans laquelle sont mis en cause plusieurs de ses proches, a accusé lundi des juges de « faire de la politique ».