Donald Trump a réitéré dimanche sa menace d’une intervention militaire au Nigeria en raison de ce qu’il affirme être une persécution des chrétiens, après que le président Bola Ahmed Tinubu a suggéré une rencontre avec son homologue américain « dans les prochains jours ».
La ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin, a estimé lundi que LFI et le RN étaient des « arnaqueurs » qui veulent faire « dérailler » le budget, soulignant qu’à ce stade du débat budgétaire, le déficit public atterrirait à environ 4,7% du PIB en 2026.
Une enfant de 8 ans, en réanimation depuis le 26 octobre après avoir été percutée par une voiture lors d’un rallye à Saint-Joseph (Sud de La Réunion), est décédée, a annoncé le parquet de Saint-Pierre lundi.
Des peines allant jusqu’à deux ans d’emprisonnement dont un an avec sursis ont été prononcées à Mulhouse lundi contre 10 gilets jaunes pour avoir dégradé neuf pylônes téléphoniques dans le Haut-Rhin en 2019 et 2020.
Le suspect de l’attaque au couteau qui a fait dix blessés samedi dans un train en Angleterre a été inculpé lundi matin pour tentatives de meurtre, et accusé également d’une agression dans le métro londonien.
Samia Suluhu Hassan a été investie lundi présidente de la Tanzanie, où l’internet reste coupé depuis les manifestations réprimées dans le sang contre son élection, l’opposition évoquant au moins 800 morts.
Le procès retentissant du Procureur général de l’Etat, l’un des plus hauts personnages du pays, s’est ouvert lundi matin à Madrid, une première dans l’histoire moderne de l’Espagne.
Les députés bouclent lundi huit jours de débats sur la partie « recettes » du budget de l’Etat, sans espoir de voter sur ce premier volet mardi comme initialement prévu. Mais à l’heure où chacun dresse un premier bilan, il semble peu probable que le texte puisse trouver une majorité dans l’hémicycle, même si le gouvernement et le Parti socialiste affirment y croire.
Un juge a demandé lundi le renvoi en procès de l’ex-ministre des Transports, José Luis Ábalos, ancien bras droit du Premier ministre Pedro Sánchez, notamment pour corruption dans le cadre de ventes irrégulières de masques à des administrations pendant la pandémie de Covid-19.
Cible des critiques depuis les inondations ayant ravagé le sud-est de l’Espagne il y a un an, agoni d’insultes lors de l’hommage rendu mercredi aux 237 victimes de la catastrophe, le président de la région de Valence Carlos Mazón a fini par démissionner lundi.