Une manifestation d’agriculteurs à Villefranche-de-Lauragais (Haute-Garonne) a interrompu mardi la circulation des trains entre Toulouse et Narbonne sur l’axe Bordeaux-Marseille, a-t-on appris auprès de SNCF Réseau.
L’un des deux assaillants de l’attentat antisémite qui a fait 15 morts sur une plage de Sydney en Australie était un citoyen indien ayant quitté l’Inde il y a 27 ans, a indiqué mardi la police de ce pays.
Le président serbe Aleksandar Vucic a confirmé mardi que le projet de construction d’hôtel dans l’ancien QG de l’armée yougoslave, bombardé par l’Otan à Belgrade, était abandonné après le retrait de la société d’investissements liée au gendre du président américain Donald Trump, Jared Kushner.
Une trentaine de personnes, majoritairement des militaires, ont été écrouées mardi au Bénin, après avoir été arrêtées en lien avec la tentative de coup d’Etat déjouée début décembre, tandis que plusieurs mutins sont toujours en fuite.
Les recherches ont continué mardi à Trévoux, dans l’Ain, pour retrouver une « personne manquante » au lendemain de l’explosion, d’origine encore indéterminée, qui a tué deux frères en bas âge et fait une dizaine de blessés.
Les agriculteurs, très remontés contre la politique agricole européenne, en particulier la réforme de la PAC et le traité avec le Mercosur, prévoient de manifester jeudi à Bruxelles et aussi en France, où ils contestent déjà la gestion de la dermatose bovine.
Une trentaine de personnes, majoritairement des militaires, ont été écrouées mardi, après avoir été arrêtées en lien avec la tentative de coup d’Etat déjouée au Bénin début décembre, a appris l’AFP de sources judiciaires.
Une personne « manque à l’appel » mardi au lendemain d’une explosion qui a tué deux enfants en bas âge dans un immeuble à Trévoux (Ain), a déclaré le ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez.
La BBC a assuré mardi qu’elle allait « se défendre » contre la plainte en diffamation du président américain Donald Trump, qui réclame 10 milliards de dollars au groupe audiovisuel public britannique pour un montage vidéo contesté de l’un de ses discours.
« C’est l’histoire d’un dérapage »: l’accusation a commencé à réquérir mardi au procès du cimentier français Lafarge et de huit anciens responsables, soupçonnés d’avoir payé des groupes jihadistes en Syrie jusqu’en 2014, dont le groupe Etat islamique (EI), dans le but d’y maintenir l’activité d’une cimenterie, en pleine guerre civile.