L’Iran a affirmé jeudi qu’aucun « plan » n’existait encore pour une reprise des négociations sur le nucléaire avec les Etats-Unis, contrairement à ce qu’avait annoncé Donald Trump après le cessez-le-feu qui a mis fin à 12 jours de guerre entre Téhéran et Israël.
L’Iran a affirmé jeudi qu’aucun « plan » n’existait pour une reprise des négociations sur le nucléaire avec les Etats-Unis, contrairement à ce qu’avait annoncé Donald Trump après le cessez-le-feu qui a mis fin à 12 jours de guerre entre Téhéran et Israël.
Le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, a qualifié jeudi « d’importants » les dégâts causés aux installations nucléaires de son pays par la guerre de 12 jours avec Israël, précisant que Téhéran avait commencé à évaluer l’impact du conflit.
Le ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Issa Tchiroma Bakary, qui a démissionné il y a quelques jours du gouvernement camerounais, a confirmé jeudi sa candidature à l’élection présidentielle prévue en octobre 2025, affirmant vouloir « en finir avec le vieux système ».
L’Equateur a annoncé jeudi l’arrestation aux Emirats arabes unis d’un chef d’une guérilla colombienne tenu pour responsable de la mort en mai de onze soldats équatoriens dans une région frontalière entre les deux pays sud-américains.
Les Etats-Unis ont annoncé jeudi avoir débloqué 30 millions de dollars pour financer la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), dont les opérations de distribution d’aide donnent lieu régulièrement à des scènes chaotiques et meurtrières.
La Cour africaine des Droits de l’homme et des peuples (CADHP), juridiction avec laquelle la Côte d’Ivoire a pris ses distances, a rejeté jeudi des requêtes de l’ex-président Laurent Gbagbo et de l’ex-Premier ministre Guillaume Soro qui estimaient que plusieurs de leurs droits avaient été violés.
« Je viens d’appeler le Premier ministre ». Face à l’obstruction de la gauche sur son texte visant à interdire le mariage aux étrangers en situation irrégulière, le groupe UDR, qui défendait jeudi les textes de sa « niche » parlementaire à l’Assemblée nationale, a demandé au gouvernement de forcer l’accélération des débats, sans succès.
Une jeune femme, qui avait critiqué le pouvoir vénézuélien sur les réseaux sociaux peu après la réélection contestée de Nicolas Maduro à la présidence le 28 juillet, a été condamnée à dix ans de prison, a indiqué une source proche du dossier jeudi.