Le premier ministre était ce mardi devant les députés pour son discours de politique générale. Aucune surprise, si ce n'est, peut-être, une vaste réforme du « millefeuille » administratif.
Le génocide des Tutsis qui débute le 6 avril 1994 n'est pas un embrasement soudain. Il a été méthodiquement planifié par le pouvoir hutu d'Habyarimana. À tel point que, dès 1990, de nombreux acteurs français sur place (services, militaires, diplomates) font remonter à l'Élysée des alertes de plus en plus précises. C'est ce que détaille le livre Au nom de la France, guerres secrètes au Rwanda, dont nous publions des extraits.
L’ONG accuse les politiques d’austérité imposées par l’Europe. Elle demande aux gouvernements d’accepter d’en reconnaître l’échec et de trouver des alternatives.
Quelque 350 000 ménages modestes en Île-de-France disposent de moins de 425 euros de “reste à vivre” individuel mensualisé, faute de logements sociaux pour les accueillir.
Voici trois portraits extraits du livre de Rachel Silvera Un quart de moins – des femmes se battent pour en finir avec les inégalités de salaire : les deux premiers concernent des femmes qui ont osé porter plainte pour retard de carrière. La troisième est dame de service dans un lycée, son travail est invisible.
Le rapport définitif de la Cour des comptes sur la gestion de l'Université Versailles Saint-Quentin (UVSQ), remis hier à Geneviève Fioraso, pointe la gestion dispendieuse de la précédente présidente Sylvie Faucheux.
Les dépenses sociales françaises sont principalement orientées vers les personnes âgées, négligeant les jeunes dont la situation sociale s'est dégradée depuis 2008, selon un rapport de l'organisation de coopération et de développement économique (OCDE).
Dans un rapport publié ce lundi, l'organisation internationale fustige une situation sociale détériorée dans laquelle cinq familles possèdent plus de richesses que les 20 % les plus pauvres du pays.
L'UE a pris lundi des sanctions contre des responsables russes et ukrainiens en Crimée, en réaction au référendum organisé dimanche, qualifié d'« illégal ».
Les juges ont ordonné, en référé, le retrait des enregistrements réalisés clandestinement par Patrick Buisson. L'ancien conseiller d'extrême droite a été condamné à verser 20 000 euros de dommages et intérêts provisionnels au couple Sarkozy.