Soixante-dix ans après sa création, le franc CFA est toujours en vigueur dans les ex-colonies africaines de la France. Cette monnaie est pourtant très critiquée par des économistes africains. Mais beaucoup de dirigeants des États concernés ne font rien pour retrouver une souveraineté monétaire.
Soixante-dix ans après sa création, le franc CFA est toujours en vigueur dans les ex-colonies africaines de la France. Cette monnaie est pourtant très critiquée par des économistes africains. Mais les dirigeants des États concernés ne contestent pas ce système anachronique, clé de voûte de la Françafrique, parce qu’ils en profitent et parce qu’ils ont peur de Paris.
De nombreux rapports et témoignages indiquent qu’il y aurait aujourd’hui près de 470 détenus d’opinion en Côte d’Ivoire, dont plus de 200 sont introuvables. Les autorités démentent.
La Commission européenne, qui cherche depuis quatorze ans et par tous les moyens à faire signer des accords de libre-échange à l’Afrique, a fixé à cette dernière une date butoir au 1er octobre, en espérant la faire céder. Mais plusieurs pays, dont le Nigeria et la Tanzanie, résistent.
L’actrice Isabelle Adjani a fait une demande de « résidente non habituelle » au Portugal. Si elle l’obtient, ses impôts en seront sensiblement minorés. Mais compte-t-elle vraiment vivre 183 jours par an au « 2e étage droite » de l’appartement qu’elle a loué à Carcavelos, une banlieue résidentielle de Lisbonne pas très glamour ?
Le conseil d’administration de l’électricien a donné jeudi son feu vert à la construction de deux réacteurs nucléaires EPR en Angleterre, malgré l’opposition de tous les syndicats et la démission d’un administrateur. Mais Theresa May ne se prononcera qu’à l’automne.
Dans les villes dirigées par le Front national, la parole raciste s’était déjà banalisée après les élections municipales en 2014. Les attentats à répétition n’ont pas arrangé ce climat. Tour d'horizon de cinq des quatorze villes dirigées par l'extrême droite.
Dans une lettre officielle obtenue par Mediapart, la présidence de la République a pris fait et cause pour le président du Gabon dans l’affaire de son état civil, objet de vives tensions à Libreville à l’approche de l’élection présidentielle du 27 août 2016.
Le cigarettier, ex-compagnie publique, se voit reprocher d'avoir minimisé en 2012 le prix de la vente d’une filiale à une autre société de sa maison mère, Imperial Tobacco. Une majoration de 40 % pour « manquement délibéré » a été demandée à l’entreprise, qui est par ailleurs extrêmement profitable.
Alors que le procureur de la République de Lyon doit se prononcer sur « l’affaire Barbarin » au terme de l’enquête préliminaire, le clergé affiche une unité de façade. Mais, en interne, des prêtres ne cachent plus leurs désaccords avec la hiérarchie et sa gestion des scandales de pédophilie.