L’ancien président de l’Assemblée nationale a été mandaté par la multinationale Accenture pour affaiblir la loi sur l’encadrement des activités des cabinets de conseil, deux ans après l’affaire McKinsey, selon des informations de Mediapart.
En pleine période des attentats de 2015, un agent de la DGSI a détourné des fonds destinés à rémunérer des hackers qui infiltraient les réseaux djihadistes. Si l’affaire a été jugée, les services se sont bien gardés de révéler cette histoire embarrassante.
Missionné par la DGSI pour pirater des sites djihadistes, « Sh0ck » a découvert des années après avoir arrêté que son propre officier traitant l’avait spolié d’une partie de la rémunération que le service de renseignement lui versait.
Pendant des mois, Cerexagri a mis en péril la santé de ses salariés marseillais et des riverains, pour gagner en productivité. Propriété d’une multinationale indienne, le site a rejeté un gaz toxique dans l’atmosphère en contournant la réglementation en vigueur.
Comptant venger le meurtre du jeune Thomas à Crépol, des nervis d’extrême droite avaient planifié fin novembre 2023 une expédition punitive dans le quartier populaire de la Monnaie. En toute discrétion, s’imaginaient-ils. Sept d’entre eux sont jugés mardi.
Après la révélation du décès d’un SDF logé dans un box appartenant à Michel Herbillon, cet élu Les Républicains du Val-de-Marne a mis en cause son agence immobilière, qui ne l’aurait pas prévenu de la présence du septuagénaire. Contactée par Mediapart, l’agence conteste sa version.
Des vidéos que révèle Mediapart montrent qu’une femme de 67 ans, juive orthodoxe, a été privée de sa perruque alors qu’elle venait d’être arrêtée pour un refus d’obtempérer au commissariat de Créteil. Son avocat dénonce des violences policières « sexistes et antisémites ».
L’ancien directeur de la communication du PSG a obtenu, pour le club et pour lui-même, des services en tous genres de la part de personnalités, dont des politiques et des policiers, à qui il offrait des invitations au stade ou des maillots dédicacés. Il dément toute irrégularité.
Alors que la pêche française traverse une crise majeure, les regards se tournent vers un homme : le patron du puissant Comité national des pêches. Avec ses innombrables mandats, le Breton noyaute les instances représentatives, au détriment des pêcheurs de base.
Dénonçant le climat social délétère, une centaine de salariés de la FFT ont interpellé leur président, Gilles Moretton, dans une lettre ouverte. En réponse, celui-ci leur annonce la saisine d’un « cabinet externe indépendant ». L’affaire éclabousse Amélie Oudéa-Castéra.