Après sa défaite à la présidence de l’Assemblée nationale, le patron des députés communistes revient sur le pacte scellé entre les macronistes et la droite d’opposition afin de permettre la réélection de Yaël Braun-Pivet. Il alerte sur les conséquences politiques de ce « marchandage gravissime pour la démocratie ».
Pour le skieur de fond Stéphane Passeron, ancien membre de l’équipe de France et ex-entraîneur handisport aux JO de Vancouver, les grands événements sportifs et culturels ne sont pas compatibles avec la situation de choc climatique.
Véronique Margron, présidente de la Conférence des religieux et religieuses de France, a recueilli le témoignage de la première femme qui a accusé l’abbé Pierre d’agression sexuelle. Elle revient sur cette affaire qui provoque un séisme, et sur l’omerta qui perdure.
Dans « Pesticides. Un colonialisme chimique », la géographe Larissa Mies Bombardi pointe la responsabilité de l’agrobusiness européen dans le désastre des écosystèmes brésiliens et l’intoxication des populations autochtones. Entretien.
L’ancienne ministre socialiste exhorte la gauche à trouver une candidature commune au poste de premier ministre, capable de rassembler son camp tout en construisant des majorités au-delà de ses rangs. « L’échec est un luxe que nos électeurs ne peuvent se permettre », dit-elle à Mediapart.
La présidente sortante du groupe écologiste à l’Assemblée nationale, Cyrielle Chatelain, voit dans la « lettre aux Français » d’Emmanuel Macron, qui nie la victoire du Nouveau Front populaire, « une preuve de plus de sa déconnexion ».
Dans son roman qui sort mi-août, « Les Derniers Jours du Parti socialiste », l’écrivain Aurélien Bellanger dresse la fresque d’une nébuleuse qui a conquis jusqu’au sommet de l’État et constitué une passerelle des « élites » aux succès électoraux du Rassemblement national.
La députée de Seine-Saint-Denis explique le chemin que le Nouveau Front populaire peut prendre pour gouverner malgré sa majorité relative. Elle acte aussi sa rupture avec La France insoumise et annonce la création d’une nouvelle force politique « au service du rassemblement ».
Dans « Chiennes de garde », la Mexicaine Dahlia de la Cerda écrit sur les violences subies par les femmes de son pays, en puisant dans l’énergie des musiques populaires. Cette activiste féministe revient aussi, dans un entretien à Mediapart, sur la victoire de Claudia Sheinbaum, première femme élue à la tête du Mexique.
La journaliste et autrice de « La Charge raciale » évoque pour Mediapart les conséquences de l’accession possible du RN au pouvoir sur les personnes racisées, dans leur chair.