En quelques années l'opposition de gauche a évolué sur le numérique: alors que les socialistes avaient voté pour la loi Hadopi I et s'étaient bien timidement opposés à Hadopi II (ils ne sont «pas opposés au fond sur le texte»), ils ont rejeté plus nettement l'Arjel ou la Loppsi II.
L'Open Society a lancé une série d'études sur l'intégration des musulmans dans les villes européennes (Anvers, Amsterdam, Berlin, Copenhague, Hambourg, Leicester, Londres, Paris, Rotterdam et Stockholm) et vient de publier le volet sur Marseille.
Dans Libre, paru en 2001, Nicolas Sarkozy raconte sa première rencontre avec le juge d'instruction qui instruit l'affaire Karachi, Renaud Van Ruymbeke (qu'il écrit «Ruymbeck») lors d'un débat en 1999 à l’Ecole nationale de la magistrature.
Le 15 octobre, l'ancien patron de Reporters sans frontières, Robert Ménard, interviendra dans le cadre des «4es journées de la réinformation» de Polémia, le think-tank d'extrême droite de Jean-Yves Le Gallou.
C'est Jean-Michel Hayat, président du tribunal de grande instance de Nanterre (Hauts-de-Seine), qui dirigera lundi et mardi l'audience de fixation du procès pénal du Mediator après que la juge Isabelle Prévost-Desprez s'est retirée de l'affaire devant la menace de sanctions disciplinaires
Berlusconi a toujours la majorité politique, mais après deux défaites électrorales il perd le soutien de son camp qui lui avait toujours, jusqu'alors, permis de contourner les lois pour s'en sortir.
L’Assemblée pour la création et la culture à l’ère numérique (ACCEN) a pour objectif de «proposer de nouvelles pierres sur un édifice dont Hadopi a posé les fondations».
En novembre 2010, en marge d'un sommet de l'OTAN, Nicolas Sarkozy avait réuni quelques journalistes pour démentir, en «off», toute implication dans l'affaire Karachi.