L’ancien président états-unien, déjà candidat pour l'élection présidentielle de 2024, crie à la « chasse aux sorcières » avant son inculpation pénale historique, prévue ce mardi à New York. Mais ses déboires judiciaires ne font que commencer.
L’inculpation du locataire de la Maison Blanche entre 2017 et 2021 devrait avoir lieu mardi 4 avril. Il est poursuivi dans une affaire de paiement pour acheter le silence d’une actrice de films pornographiques. De nouveau candidat pour la présidentielle de 2024, Donald Trump dénonce une « chasse aux sorcières ».
Le ministre de la santé se range à l’avis de la Haute Autorité de santé qui recommande la levée de l’obligation vaccinale des soignants. Elle le fait contre l’avis de la majorité des sociétés savantes et des associations de malades exposées aux formes les plus graves du Covid.
Evan Gershkovich, correspondant en Russie pour le « Wall Street Journal », a été interpellé dans l’est de la Russie. Il est « soupçonné d’espionnage au profit des États-Unis ». Des allégations démenties par son journal, qui appelle à sa « libération immédiate ».
Le monde de la finance le créditait d’un succès depuis le début de sa présidence : sa politique pro-business. Alors que la crise sociale et politique s’approfondit en France, il redoute de voir toute cette politique remise en cause. Par la seule faute d’Emmanuel Macron.
Les dérives du maintien de l’ordre en France depuis l’activation de l’article 49 alinéa 3 par le gouvernement ont été dénoncées par l’ensemble de la société civile, les autorités administratives indépendantes, ou encore le Conseil de l’Europe et les Nations unies.
Les magistrats financiers publient un rapport cinglant sur la pédopsychiatrie. Un hôpital public en crise bien seul pour prendre en charge des enfants qui vont de plus en plus mal, avec toujours moins de lits et de pédopsychiatres. La plupart des politiques publiques déployées relèvent de l’affichage.
Les premières réquisitions de grévistes au dépôt pétrolier de Fos-sur-Mer ont rehaussé d’un cran les tensions, alors que toutes les raffineries du pays sont touchées par des mouvements de grève contre la réforme des retraites. Les réserves de carburant s’épuisent dans certains départements.
Les gauches espagnoles avaient promis de réformer une « loi bâillon » adoptée par la droite en 2015, accusée de réduire la liberté d’expression ou encore de protéger les policiers qui commettraient des violences. Mais un vote mardi à Madrid a douché les espoirs de la société civile.
L’administration Biden a donné son feu vert à un mégaprojet de forage pétrolier en Alaska sur des terres appartenant à l’État. Durant la campagne présidentielle, Joe Biden avait déclaré : « Plus de forage sur les terres fédérales, un point c’est tout. »