La demande d’agrément déposée par l’association anticorruption n’a reçu aucune réponse du gouvernement. Son président, Paul Cassia, annonce un recours et le dépôt d’une nouvelle demande, afin de pouvoir agir en justice.
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Alors que Mediapart multiplie les révélations sur Alexandre Benalla, la diffusion d’une conversation qu’il a eue avec son acolyte Vincent Crase provoque la panique au sein du pouvoir macroniste. Un lundi matin, deux procureurs et trois policiers débarquent au journal pour le perquisitionner.
À la suite de la publication d’un article sur l’affaire des financements russe d’Alexandre Benalla, nous avons reçu un droit de réponse de Farkhad Akhmedov.
Selon un rapport de synthèse de la police parisienne, l’ancien conseiller d’Emmanuel Macron a été l’« animateur de fait » de sociétés commerciales qui ont signé des contrats de sécurité avec des oligarques proches de Vladimir Poutine, y compris quand il travaillait à l’Élysée. Ce que l’intéressé conteste.
Après un contact direct avec le président Macron, la société française de cybersurveillance Nexa a utilisé Alexandre Benalla comme intermédiaire pour tenter de vendre des logiciels espions à l’Arabie saoudite, malgré l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi. Un an et demi après la découverte de ces faits très embarrassants pour l’Élysée, l’enquête judiciaire traîne.
L’ancien homme de confiance d’Emmanuel Macron a été de nouveau condamné en appel à trois ans de prison, dont un an ferme, pour les violences du 1er mai 2018 à Paris.
Le procès en appel d’Alexandre Benalla et de Vincent Crase s’est achevé ce jeudi avec les plaidoiries de la défense. La cour d’appel de Paris rendra sa décision fin septembre.
Une peine de dix-huit mois de prison avec sursis a été réclamée ce mercredi devant la cour d’appel de Paris contre l’ancien homme de confiance d’Emmanuel Macron, rejugé pour une douzaine de délits.
Faisant désormais profil bas, vendredi à l’ouverture de son second procès, l’ancien homme de confiance d’Emmanuel Macron reconnaît avoir commis plusieurs délits qui lui sont reprochés. Mais pas les violences du 1er mai 2018.
L’ancien homme de confiance d’Emmanuel Macron à l’Élysée est rejugé à partir de vendredi devant la cour d’appel de Paris pour les violences du 1er mai 2018 et plusieurs autres délits.