Justice Reportage

Au tribunal, Alexandre Benalla esquisse un mea culpa

Faisant désormais profil bas, vendredi à l’ouverture de son second procès, l’ancien homme de confiance d’Emmanuel Macron reconnaît avoir commis plusieurs délits qui lui sont reprochés. Mais pas les violences du 1er mai 2018.

Michel Deléan

Dès l’ouverture de son second procès, vendredi 9 juin devant la cour d’appel de Paris, Alexandre Benalla annonce la couleur. Il n’entend plus contester qu’une chose : les accusations de violences volontaires commises le 1er mai 2018 place de la Contrescarpe et au Jardin des Plantes, dans le Ve arrondissement parisien. Un changement de système de défense plutôt habile, au vu de l’épaisseur du dossier.

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