Série Épisode 6 Les Scop, pour travailler autrement

Les larmes de joie des Fralib

1 photo

Après 1 336 jours de lutte, les salariés de Fralib ont obtenu en partie gain de cause. Après trois ans d'occupation de leur usine à Géménos (Bouches-du-Rhône), les salariés ont signé à l'unanimité le 25 mai un protocole d'accord avec le groupe Unilever (Lipton, Éléphant). L'accord ouvre la voie à la reprise de l'activité de l'usine par une soixantaine d'anciens salariés sous forme de Scop. Notre reporter était là.Sur ce thème, voir aussi nos autres portfolios :Le pari scop des ouvriers glaciersAcome, l'usine aux mille associés, Les derniers jours des ex-Lejaby et En Argentine, le défi de “l'usine sans patron”.

Patrick Artinian

  1. Illustration 1
    © Patrick Artinian

    Les Fralibs écoutent le compte-rendu de la négociation lors d’une assemblée générale dans l’usine. Depuis trois ans et demi, ils étaient devenus les symboles de la lutte contre le capitalisme financier.

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter