J’ai passé 16 ans à l’Agence France-presse, école de la rigueur et de la concision. De Paris à Pékin, en passant par Lyon, Montevideo et Pékin, j’y ai goûté au local et au global. Par la suite, pendant sept ans au journal Le Monde, j’ai apprécié les grands espaces et les lettres gothiques. Aujourd’hui à Mediapart, j’anime le pôle International avec bonheur.
Déclaration d’intérêts
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
L’Afrique du Sud, attaquée par Donald Trump depuis son retour à la Maison-Blanche, subit une nouvelle escalade de la part de Washington. Son représentant diplomatique Ebrahim Rasool a été déclaré persona non grata et devra quitter les États-Unis après des commentaires jugés inacceptables.
La destruction des programmes fédéraux, avec le licenciement de dizaines de milliers de fonctionnaires, menée par le milliardaire provoque de plus en plus de contestations. Au sein de l’administration Trump, des critiques se font même jour, poussant le président à voler au secours de son précieux allié.
Les commémorations des soixante ans de la grande lutte pour les droits civiques aux États-Unis ont été l’occasion de nombreux débats sur les dangers encourus par la démocratie. Tout en posant la question de la stratégie des démocrates pour les élections à venir.
Mahmoud Khalil, né en Syrie, s’est investi dans les mobilisations pour Gaza du printemps 2024 à l’université Columbia. Il a été arrêté chez lui samedi 8 mars. Les autorités affirment vouloir le refouler, suivant les ordres de Donald Trump.
Dans la ville du sud des États-Unis où s’est écrite l’histoire de la lutte pour le droit de vote des Africains-Américains, des militants ont organisé un faux procès pour dénoncer le démantèlement des politiques de diversité et d’inclusion mené par Donald Trump.
Des rassemblements ont eu lieu vendredi dans une trentaine de villes des États-Unis pour dénoncer les attaques contre la science de la part de l’administration Trump. Reportage à Birmingham, dans le sud des États-Unis, dont l’université est connue dans le monde entier pour ses recherches en médecine.
Lors de réunions dans leurs circonscriptions, des représentants républicains au Congrès ont subi les foudres de leurs administrés. Parmi les sujets de mécontentement qui reviennent le plus, les coupes budgétaires et les licenciements d’employés fédéraux opérés par Elon Musk.
Cette semaine, les dirigeants français et britannique en visite à Washington ont tenté de masquer l’ampleur des divergences entre les États-Unis et l’Europe sur l’Ukraine. Mais l’humiliation de Volodymyr Zelensky vendredi à la Maison-Blanche acte définitivement la complicité entre Donald Trump et Vladimir Poutine.
À Washington, lundi 24 février, sourires et flatteries ont accompagné la visite d’Emmanuel Macron à la Maison-Blanche. Mais au même moment aux Nations unies, à New York, Washington et Moscou se sont retrouvés sur le dossier ukrainien pour un rapprochement spectaculaire et historique.
Depuis son arrivée à la Maison-Blanche, le 47e président des États-Unis a mis en œuvre son programme de manière méthodique. Il vise la démolition de l’administration fédérale et, plus largement, de la démocratie états-unienne.
En 2017, Xi Jinping lançait un grand plan pour faire de la Chine le pays leader de l’intelligence artificielle en 2030. Comme pour le secteur du numérique, le Parti communiste y voit à la fois une opportunité de croissance économique et un moyen de contrôle politique.
Pour son deuxième mandat, Donald Trump est décidé à passer au bulldozer en ignorant les limites juridiques constitutionnelles et légales. Entretien avec Heidi Kitrosser, professeure à l’université Northwestern, spécialiste des questions de séparation des pouvoirs et de la liberté d’expression.
Tous ses billets de blogs
Le Club de Mediapart
Participez au débat
Les journalistes de Mediapart utilisent aussi leurs blogs, et participent en leurs noms à cet espace de débats, en y confiant coulisses d’enquêtes ou de reportage, doutes ou réactions personnelles à l’actualité.
Mediapart a conclu fin février un partenariat avec le site Kyiv Independent, un média indépendant ukrainien créé en novembre 2021, quelques mois avant l’attaque russe. Cette collaboration se traduira notamment par des échanges d’articles.
Retrouvez de nouveau tous les mois, à partir du mardi 13 février, la lettre américaine de Mediapart, consacrée à l’année électorale états-unienne, qui s’achèvera par le scrutin du 5 novembre.
Contrairement à ce que dit depuis près de trois ans un journaliste, Mediapart n’a pas volé le fruit de son travail. Aucun juge ne l’a reconnu. Nous avons mis fin à sa participation à une enquête à laquelle il s’était greffé en raison d’informations partielles, voire inexactes et donc non utilisables en l’état, de manquements professionnels.
Mediapart contributor Hussam Hammoud, 30, who currently lives in Turkey, applied for what is called a “humanitarian” visa in order to travel to France and, once on French soil, to apply for asylum in the country along with his wife and two young children. But on September 5th he received a cold and impersonal email rejecting his request. Outrageous.
Notre collaborateur, Hussam Hammoud, 30 ans, qui vit actuellement en exil en Turquie, avait déposé une demande de visa dit « humanitaire » pour pouvoir faire une demande d’asile en France avec sa famille. Mais, lundi 5 septembre, il a reçu un courriel type de rejet. Une abomination.