Géraldine Delacroix
Après avoir passé mes deux premières années dans la presse écrite, entre Le Monde et Les Echos, je suis entrée à Libération en 1992. Chef d'édition des rubriques Vous, France, Economie jusqu'en 1998... j'ai ensuite pris la responsabilité du service Infographie. En 2000, j'ai définitivement laissé tomber le papier pour Libération.fr. Une riche époque marquée par l'irruption de l'information en continu, du multimédia et de l'interactivité. J'ai quitté Libération en 2007 pour fonder avec Judith Rueff l'agence de web-documentaire Ligne 4. J'ai rejoint Mediapart à la fin de l'année 2009.
Consulter ici ma déclaration d'intérêts.
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Le brief Ukraine du 1er avril : la Russie accuse l’Ukraine d’une attaque sur son territoire
La Russie accuse les Ukrainiens d’être responsables du tir ayant causé des dégâts à la raffinerie de pétrole de Belgorod, le 1er avril 2022. © Photo Stringer / Anadolu via AFP
Au 37e jour de guerre, Moscou attribue à l’Ukraine l’incendie d’un dépôt de carburant en territoire russe. Roberta Metsola, présidente du Parlement européen, fait le voyage de Kyiv. Plusieurs villes autour de la capitale auraient été libérées.
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Le brief Ukraine du 31 mars : Zelensky parle de diamants à la Belgique, les achats européens de gaz menacés
Des civils ukrainiens évacués arrivent à Zaporijia, le 30 mars 2022. © Photo Diego Herrera Carcedo / Anadolu via AFP
Au 36e jour de guerre, le gouvernement ukrainien a envoyé des bus à destination de Marioupol pour une opération d’évacuation encore incertaine. Un décret de Vladimir Poutine oblige le paiement du gaz russe en roubles. En vidéo devant le parlement belge, Zelensky appelle à inclure les diamants russes dans les sanctions.
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Données personnelles : les contrôles du « passe sanitaire » suscitent l'inquiétude
Ecran de l'application Tac Verif.
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Génération identitaire manifeste contre sa dissolution
Rassemblement de Génération identitaire, samedi 20 février à Paris. © G. Dx
Quelques centaines de manifestants se sont réunis à Paris ce samedi pour protester contre la dissolution du mouvement d’extrême droite enclenchée par le ministère de l’intérieur. Une contre-manifestation prévue au même moment n’a pas pu se tenir.
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Cet article n’a pas été écrit avec un smartphone
Une jeune femme montre à son amie une conversation WhatsApp (Genève, 2015). © © Nicolas Nova / MetisPresses
Les téléphones mobiles d’aujourd’hui font converger une somme de fonctions jamais vue dans l’histoire des technologies, dont la lecture des nouvelles, et parfois même leur écriture. Mais pas la rédaction de cette chronique de l’ouvrage remarquable que Nicolas Nova leur consacre.
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Convergences autour de la réduction du coût environnemental du numérique
«La durée de vie d’un smartphone est aujourd’hui de 23 mois», selon le rapport sénatorial. © AFP
Après six mois de travaux, la mission sénatoriale sur l’empreinte environnementale du numérique a présenté ses calculs et ses idées. Nombre d’entre elles recoupent les propositions de la Convention citoyenne pour le climat.
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StopCovid, la crise de confiance
L'application a été téléchargée 1,9 million de fois. © AFP
Est-ce le déclin de l’épidémie ou le manque de confiance dans l’exécutif ? Cédric O a confirmé ce mardi la faiblesse de l’usage de l’application, qui n’a permis de « prévenir » que 14 personnes d’un contact à risques. Alors qu’une nouvelle version doit réduire la quantité d’informations transmises, Mediapart revient sur les inquiétudes que StopCovid soulève pour la vie privée.
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Loi Avia contre la haine en ligne: la gifle du Conseil constitutionnel
La députée Laetitia Avia (LREM), à l'Assemblée nationale, en juillet 2019. © STEPHANE DE SAKUTIN / AFP
Les deux principales dispositions du texte, soit le retrait en 24 heures des contenus haineux et celui, en une heure, des contenus à caractère terroriste ou pédo-pornographique, sont censurées. L’atteinte à la liberté d’expression n’est pas « proportionnée au but poursuivi ».
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StopCovid, l’appli qui en savait trop
Sur le site officiel de StopCovid.
Loin de se limiter au recensement des contacts « à moins d’un mètre pendant au moins quinze minutes », l’application mise en place par le gouvernement collecte, et transfère le cas échéant au serveur central, les identifiants de toutes les personnes qui se sont « croisées » via l’appli. De près ou de loin.