Pariant sur l’addiction des Américains aux « pilules miracles », les affaires des « Chapitos » vont prospérer grâce aux restrictions de certains opiacés finalement jugés trop dangereux après avoir été commercialisés. Sans pour autant parvenir à trouver le bon dosage.
Il est le fils de l’autre chef du cartel de Sinaloa, de l’associé d’« El Chapo ». Fils d’« El Mayo », Vicente Zambada Niebla, lui, ne voulait pas d’une vie de mafieux. Sur fond de trafic de drogue prenant de l’ampleur et de guerre des clans, il va devenir le rouage de la trahison.
Depuis les arrestations de l’un des plus grands mafieux de l’histoire mexicaine, Joaquín Guzmán, dit « El Chapo », sa succession à la tête du cartel de Sinaloa a vu émerger trois clans. Mais c’est celui de ses enfants, « Los Chapitos », qui tente par la violence de prendre le dessus.
L’industriel français a contaminé l’eau potable de milliers de personnes et fait d’innombrables victimes. Un lanceur d’alerte dénonce ses mensonges et ses stratégies pour échapper à de nouvelles indemnisations. Dans le New Hampshire, les juges conservateurs ont jusqu’ici laissé faire.
Ces artistes, qui jouent avec les codes traditionnels du genre et se produisent sur scène ou lors de lectures pour enfants, sont devenus une obsession pour la droite américaine. Comme en France, ils sont menacés, voire attaqués au nom de la protection des mineurs.
Le géant pharmaceutique américain Johnson & Johnson et son fournisseur français, le groupe Imerys, sont accusés d’avoir tout fait pour maintenir leurs produits à base de talc, en dépit des risques de cancer, notamment pour les femmes. Soixante mille plaintes ont été déposées aux États-Unis.
Depuis que la Cour suprême est revenue sur le droit constitutionnel à l’avortement, des militantes féministes installées dans les États ultra-conservateurs tentent de faire parvenir des pilules abortives aux femmes les plus vulnérables. Quitte à braver la loi.
Ouvertement homosexuelle, l’ancienne procureure du Massachusetts a été élue gouverneure de l’État en novembre. Un vote historique qui fait d’elle l’une des personnalités les plus en vue du Parti démocrate, alors que le pays affronte une résurgence d’actes anti-LGBT.
Pour la désignation du candidat républicain à la présidentielle de 2024, Donald Trump pourrait être défié par le gouverneur de Floride, Ron DeSantis. Ce dernier est Trump sans être Trump. Trump sans les casseroles.
Candidat au Sénat dans l’Ohio, J.D. Vance, auteur à succès notamment apprécié par la gauche américaine, s’est radicalisé. Grâce au soutien de Donald Trump, il a remporté la très compétitive primaire républicaine et, in fine, son élection. Sa victoire au Sénat illustre l’influence de l’ancien président sur le parti républicain.
Pour remporter cet État clé des élections de mi-mandat, les démocrates tentent de réduire leurs pertes parmi les électeurs ouvriers qui votent de plus en plus à droite. C’est John Fetterman, un candidat pro-Bernie Sanders, pro-LGBT, pro-IVG, pro-cannabis, mais aussi pro-armes et pro-gaz de schiste, qui doit séduire ces grands « oubliés ».
Sur les rivages du golfe du Mexique, l’essor du gaz naturel liquéfié inquiète. Car la région, qui s’apprête à augmenter sa production pour répondre à la demande européenne, souffre déjà de la pollution causée par les géants du pétrole et du gaz installés sur place, à l’instar de TotalEnergies.