Migrations

Le milieu culturel dénonce le bannissement des artistes sahéliens

Le gouvernement intime aux structures culturelles françaises de suspendre leurs projets menés avec des ressortissants ou institutions maliennes, burkinabè et nigériennes, en raison du contexte sécuritaire. Une décision jugée « absurde », en France comme en Afrique.

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Il y a de cela six mois à peine, le 27 février, Emmanuel Macron avait décliné, depuis le palais de l’Élysée, les priorités de sa politique africaine, et à l’écouter, les artistes devaient y jouer un rôle prépondérant. « L’objectif que nous devons poursuivre est d’avoir [...] une politique qui associe pleinement les entrepreneuses et entrepreneurs, les innovateurs, les sportifs, les artistes, les scientifiques [et] qui a vocation à ne pas être simplement de gouvernement à gouvernement, mais qui doit pleinement assumer de traiter avec la société civile des différents pays d’Afrique », avait-il fièrement annoncé.

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Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

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