Dans un contexte où l’art contemporain a été largement digéré par l’industrie du luxe et où les artistes sont, pour la plupart, devenus des produits spéculatifs défiscalisés que s’arrachent les plus grandes fortunes du monde, reposer la question des liens entre art et politique est nécessaire. C’est ce à quoi s’attelle la galeriste Isabelle Alfonsi dans son livre Pour une esthétique de l’émancipation, publié par les éditions B42.
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