Grèves et « soviets écolos » : vers un « communisme du vivant »

Selon le philosophe Paul Guillibert, qui vient de publier « Terre et capital », la catastrophe écologique exige d’en finir avec l’appropriation et l’exploitation de la nature, comme du travail humain. Il explique pourquoi il espère la multiplication de « soviets écologistes ». 

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La COP26 a illustré l’incapacité des États à agir à la hauteur du dérèglement climatique (lire le bilan établi par Mickaël Correia). Le philosophe Paul Guillibert, qui vient de publier Terre et capital (Amsterdam, 2021), invite à mieux faire pression sur les gouvernements, mais aussi à se réapproprier des moyens de subsistance autonomes.

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