Culture et idées Chronique

Dominique Marchais, filmeur des communs

Le « bon gouvernement » est-il encore possible ? Nul homme n'est une île, en salle ce mercredi 4 avril, documente des initiatives locales en Sicile, en Suisse et en Autriche. D'agrumes en artisanat du bois, Dominique Marchais construit un archipel cinématographique et politique.

Emmanuel Burdeau

Bande-annonce de « Nul homme n'est une île » © Bandes Annonces Cinéma

Nul homme n'est une île peut être vu comme le troisième volet d'une trilogie documentaire dont les précédents volets s'appellent Le Temps des grâces et La Ligne de partage des eaux. Ces titres ne sont pas n'importe lesquels. Ils possèdent une poésie discrète qui, en elle-même, livre une vérité du travail de Dominique Marchais. Poésie ouverte : chaque énoncé ne dit pas de quoi il retourne, sans toutefois lancer le spectateur sur une fausse piste.

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