Brassens : le dernier des troubadours

Comment Georges Brassens (1921-1981) se tissa, de chanson en chanson, un cocon tutélaire et fécond un passé recomposé, un Moyen Âge perfectionné. De là, il faisait la nique au XXe siècle, juché sur les épaules de Paul Fort et François Villon.

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Comment désembaumer Georges Brassens, tandis que s’annonce le centenaire de sa naissance – il ouvrit les yeux le 22 octobre 1921 –, qui verra les bandelettes de la renommée lui tresser la bonne réputation ad hoc (« Les morts sont tous de braves types ») ? Peut-être en le prenant aux mots. À la loyale : scruter ce qu’il nous a légué plutôt que de fureter dans ce qu’il s’évertua, sa vie durant, à cacher – tout en raillant les pisse-copies d’une certaine presse à scandale prompte à déceler ce qu’il celait.

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