En 1972, un groupe de chercheurs, réunis sous l’appellation de Club de Rome, publie un rapport retentissant sur Les Limites à la croissance économique. Plus de quarante ans plus tard, ce rapport est un jalon de la pensée écologique (actualisé et republié en 2011). Son originalité est, alors, d’étudier l’évolution à long terme du système « monde », résument Pablo Servigne et Raphaël Stevens dans Comment tout peut s’effondrer. Pour eux, le message principal du Club de Rome en 1972 disait : « Si l’on part du principe qu’il y a des limites physiques à notre monde, alors un effondrement généralisé de notre civilisation thermo-industrielle aura très probablement lieu durant la première moitié du XXIe siècle. »
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