«Quand j’étais normal», un roman presque empathique de Marc Weitzmann

Ayant pris du champ à New York, Marc Weitzmann revient avec un roman calmé et nettement moins manichéen. L'occasion de creuser son thème favori: l'étrange trajectoire de la gauche culturelle dans un monde en profonde mutation. Entretien vidéo et extrait.

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Fasciné par certains romanciers anglo-américains, Marc Weitzmann s'est identifié à eux au point de se rapprocher des thèses néo-conservatrices, et même de publier un document littéraire sur Israël au titre aussi clair que désagréable: Livre de guerre. Sa fiction n'en est pas sortie indemne, et Fraternité son dernier roman était d'abord marqué par la haine, ce qui rendait sa lecture quasi impossible, y compris pour des lecteurs qui avaient apprécié certains de ses livres précédents. Car cela n'ôtait rien au talent de Weitzmann: Enquête (son premier roman, paru en 1996) demeure le meilleur texte de fiction sur les années Mitterrand, et l'un des romans les mieux dialogués de la littérature française contemporaine, et Chaos, son deuxième, un livre impressionnant, son meilleur à ce jour.

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