C’était à Salé, faubourg de Rabat, dans les jardins de Hassan II. Non, Abdellah Taïa, né en 1973 au Maroc, n'a pas besoin du paravent de Flaubert ni d'un pastiche de Salaambô, tant il joue franc-jeu. Il assume son homosexualité avec une évidence naturelle et courageuse, qui l'a érigé en cible hérétique de choix ou en symbole d'avancées en cours, c'est selon.
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