Entre avril 2011 et mars 2012, le photographe Antonio Pagnotta s’est introduit régulièrement dans la zone interdite de Fukushima. Un travail réuni ici en sept portfolios.
En juillet 2012, Mediapart publiait ce portfolio, travail du photojournaliste Antonio Pagnotta, qui durant neuf mois est régulièrement entré dans la zone interdite autour de la centrale de Fukushima au Japon. Il y avait rencontré un homme qui a refusé d'évacuer les lieux. Ce premier portfolio (d’une série de sept à retrouver ici) a donné lieu à un récit, « Le dernier homme de Fukushima », publié en mars 2013 aux éditions Don Quichotte.
Pour lire l'article présentant ce livre, cliquer ici.
Pour lire l'article sur le travail d'Antonio Pagnotta, cliquez ici.
La zone interdite autour de Fukushima s'étend sur un rayon de vingt kilomètres. A l'intérieur, il y a un supermarché, resté en l'état depuis mars 2011. Ces photos du chaos, signées Antonio Pagnotta, aucun journal n'a voulu les publier au Japon. Deuxième de notre série de sept portfolios. (premier volet: "le dernier homme" ici et là, l'article sur Antonio Pagnotta).
Troisième volet du reportage d'Antonio Pagnotta dans la zone interdite autour de Fukushima. Dans un rayon de vingt kilomètres autour de la centrale, les populations ont été évacuées. Mais des animaux restent. (Voir les deux précendents portfolios ici et là)
Hors de la zone interdite, mais à moins de 30 kilomètres de la centrale de Fukushima, des ouvriers et volontaires enlèvent la terre contaminée, notamment dans les écoles. Un travail dangereux, réalisé avec des outils de fortune et souvent sans vêtement de protection.
Seuls ou en groupe, les Japonais expriment leur colère face à la désinformation dont ont fait preuve les autorités industrielles et gouvernementales. Par crainte des radiations, certains veulent quitter le pays. D'autres restent auprès des plus vulnérables.
Le sixième volet du reportage d'Antonio Pagnotta nous fait sortir de la zone d'exclusion de Fukushima. Nous sommes à Tokyo, dans une famille nippo-américaine dont la vie a été bouleversée par la catastrophe nucléaire. La crainte des radiations est devenue une obsession quotidienne.
L'autoroute Joban est fermée depuis mars 2011. Au jour anniversaire de la catastrophe nucléaire, le 11 mars 2012, Antonio Pagnotta a pu l'emprunter, seul, à pied. Il a parcouru 12 kilomètres, reliant Hirono à la ville de Naraha au cœur de la zone interdite. Tous les portfolios sur Fukushima publiés cette semaine sont disponibles ici.
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