Europe: Macron ou le chaos?
Démocraties « libérales » contre « illibérales », « progressistes » contre « populistes » : la ligne de partage tracée par Emmanuel Macron pour structurer la politique européenne avant les élections de mai 2019 est trop simpliste pour être pertinente. Mediapart consacre une série d'articles pour démonter cette grille d’analyse qui cherche à masquer les alternatives de fond à l'Europe néolibérale d'aujourd'hui.
Europe: les périls de la rhétorique des blocs de Macron

Démocraties « libérales » contre régimes « illibéraux », « progressistes » contre « populistes » : la ligne de partage tracée par Emmanuel Macron pour structurer la politique européenne avant les élections de mai 2019 est trop simpliste pour être pertinente. Premier volet d’une série d’articles consacrés à cette grille d’analyse, qui masque les alternatives à l’Europe néolibérale d’aujourd'hui.
La «démocratie illibérale», une notion trompeuse

Emmanuel Macron est parti en croisade contre les démocraties « illibérales ». D’où vient ce terme, et veut-il vraiment dire quelque chose ? Souvent employé abusivement, il pourrait euphémiser des dérives tout simplement autoritaires, et masquer celles qui gagnent aussi les démocraties dites « libérales ».
Macron vs Orbán: comment les partis cherchent à sortir du piège

À huit mois du scrutin européen, les partis politiques français ont bien identifié la nécessité de ne pas se laisser enfermer dans l’alternative « nationalistes » contre « progressistes ». De gauche à droite, on réfléchit aux moyens de s’affranchir de cette rhétorique.
Démocraties libérales: la métamorphose ou la disparition

Alors que les élections aboutissent à placer en tête des Trump ou des Bolsonaro, et que les échéances européennes paraissent configurées pour un match faussé entre libéraux et illibéraux, peut-on, et si oui faut-il, sauver les démocraties libérales d'elles-mêmes ?
Entre Macron et Salvini, une vision économique partagée
Au-delà de l’opposition qui se dessine entre un Emmanuel Macron « progressiste » et ses adversaires « nationalistes », l’analyse des actions économiques des deux côtés des Alpes montre une troublante ressemblance.