Climat

Climat : les banques continuent de financer les énergies fossiles

La COP23 démarre le 6 novembre à Bonn. Malgré l’accord de Paris, des sommes considérables d’argent public et privé continuent de financer les énergies fossiles, première cause des dérèglements du climat. Y compris la France en Afrique, ou les banques françaises avec les sables bitumineux.

Jade Lindgaard

Le vingt-troisième sommet de l’ONU sur le climat, la COP23, commence lundi 6 novembre à Bonn, en Allemagne. Deux ans après l’accord de Paris, qui engage les signataires à tout faire pour limiter la hausse des températures à 2 °C, des sommes considérables d’argent public et privé continuent de financer des projets de centrales à charbon, fioul et gaz, de nouveaux gazoducs ou oléoducs, et même de futurs forages de sables bitumineux. C’est-à-dire exactement ce qu’il ne faut plus faire si l’on veut se donner une chance d’éviter la catastrophe climatique.

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